Publié le : 20 août 20203 mins de lecture
En France et en Europe, le délai de paiement légal est au maximum de 60 jours. Malheureusement, certains clients dépassent cette durée, ce qui a un impact sur le besoin en fonds de roulement d’une société.
D’où l’importance de ne pas négliger le recouvrement des créances. Voici quelques astuces pour mieux traiter cet aspect épineux de la gestion d’une société.
Faire preuve de réactivité en cas de retard de paiement
Pour réussir à couvrir rapidement les impayés, il faut intervenir dès que l’on détecte un impayé. Pour ce faire, il convient de procéder à la surveillance des échéances de paiement. Lorsque le paiement n’a pas été effectué à la fin du délai imparti, il faut relancer de suite le client par e-mail.
S’il n’y a pas de réponse dans les jours suivants la relance, il convient de l’appeler. Si ces mesures ne génèrent pas de résultats, il faudra ensuite envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception au client. En général, les premières relances permettent souvent aux clients d’agir en conséquence.
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Trouver des solutions pour accélérer le processus de recouvrement
Concernant la gestion des relances, il est possible d’utiliser un logiciel de gestion. Ce programme améliore le suivi et active automatiquement les relances au moment de la fin du délai de paiement.
Le retard est identifié et le client reçoit rapidement une alerte concernant son impayé. Grâce à un progiciel, la société a la possibilité de mieux visualiser l’évolution de chaque recouvrement.
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Ne pas faire une impasse sur le règlement à l’amiable
Bien que l’automatisation soit une solution envisageable pour accélérer le recouvrement de créances, il n’y a rien de tel que le contact direct pour récupérer les sommes dues. Bon à savoir : Le recouvrement à l’amiable ne nécessite pas de procédure judiciaire.
Il permet non seulement de garder de bonnes relations avec sa clientèle, mais aussi d’économiser des frais juridiques substantiels. Pour que ce système de recouvrement réussisse, il est toutefois indispensable que l’employé chargé de recouvrer les dettes ait un sens aigu de la diplomatie, et soit capable de mener à bien une négociation.
